Les Canadiens sont incertains que les personnes qu'ils ont désignées en cas d'urgence répondraient à leur appel
Une étude de MedicAlert conclut que 1 Canadien sur 3 ne peut affirmer avec certitude qu'un membre de sa famille ou un ami répondrait à son premier appel téléphonique en cas d'urgence.
TORONTO, le 1er mai 2018 /CNW/ - Quatre Canadiens sur cinq (82 %) savent qu'en situation d'urgence, ils doivent vérifier si la personne en détresse porte un identifiant médical MedicAlert. C'est ce que conclut un nouveau sondage Maru/Matchbook réalisé pour le compte de MedicAlert Fondation Canada, le plus important organisme de bienfaisance enregistré au pays fonctionnant par abonnement.
« Comme le mois de mai célèbre le travail de MedicAlert au Canada, les constatations de ce sondage d'opinion publique mené à l'échelle nationale soulignent l'importance essentielle et vitale de porter un identifiant MedicAlert », déclare Robert Ridge, président et chef de la direction de MedicAlert Fondation Canada. « En situation d'urgence, MedicAlert devient la voix des personnes qui sont incapables de demander de l'aide par elles-mêmes. C'est l'une des mesures de sécurité les plus efficaces que peuvent prendre les gens atteints d'une affection ou d'un trouble cognitif pour assurer leur protection. »
Aujourd'hui, un Canadien sur trois est aux prises avec un problème de santé qui doit être communiqué aux secouristes (ambulanciers, urgentologues, policiers ou pompiers) lors d'une urgence médicale. Toutefois, des milliers de personnes au pays, bien qu'elles souffrent de troubles médicaux chroniques (comme le diabète, l'asthme, les allergies, les cardiopathies, les troubles cognitifs et la maladie d'Alzheimer), ne portent pas d'identifiant MedicAlert.
Selon le sondage, seulement 15 pour cent des Canadiens sont fermement persuadés que les services d'urgence pourront obtenir leurs antécédents médicaux même s'ils sont inanimés ou s'ils ne peuvent renseigner les secouristes. De plus, un Canadien sur trois ne peut affirmer avec certitude qu'un membre de sa famille ou un ami répondrait à son premier appel téléphonique en cas d'urgence, et moins d'un répondant sur cinq (19 %) est fermement persuadé qu'il obtiendrait une réponse dans un délai de deux minutes.
En comparaison, les préposés du service téléphonique d'urgence de MedicAlert, lequel est disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, répondent aux appels dans un délai moyen de cinq secondes et peuvent donc transmettre immédiatement aux secouristes les renseignements médicaux essentiels de l'abonné. Cette ligne téléphonique exclusive permet aux premiers intervenants d'accéder au profil médical électronique complet d'une personne, alors que le service d'avis aux familles contacte les proches de celle-ci pour leur expliquer la situation et leur indiquer où la victime se trouve afin qu'ils puissent lui apporter du soutien dans les moments éprouvants.
« Quand je dois porter secours à quelqu'un, je vérifie dès les premiers instants si cette personne porte un identifiant médical MedicAlert », soutient Blair Bigham, médecin, ambulancier, membre du conseil d'administration de MedicAlert et porte-parole de l'organisme. « Si je n'ai pas les bons renseignements, je ne peux prendre la bonne décision. Puisque j'ai confiance en l'information que MedicAlert me fournit, je peux m'en servir pour prendre la meilleure décision clinique qui soit lorsqu'une personne se trouve en danger de mort. »
MedicAlert est le service d'identification médicale qui inspire le plus confiance à la collectivité des premiers intervenants et des secouristes, et que ceux-ci recommandent plus que n'importe quel autre; après tout, l'organisme protège les Canadiens depuis plus de 55 ans grâce à son service vital d'aide d'urgence.
Publication Index Santé : 2018-05-01
Nombre de visites depuis la publication : 33058
À lire sur Index Santé :